Le début de la fin(pv: Carnil)

Le chevalier tourna dans le couloir sa cape claquant derrière lui. Son pas vif se répercutaient dans l'allée. Les servantes qui traversaient les lieux s'écartaient de son chemin avec un mélange de crainte et de déférence. Depuis qu'il servait Carnil, les habitants du château le regardait différemment. Ont le traitait avec respect. Il n'était plus le chevalier qui allait jouer au carte avec les soldats lors de leur pauses et qui allait boire à la taverne du village avec eux. Il n'était plus le jeune homme qui passait son temps à s'amuser et que toute les femmes du château appréciait. Il n'était plus... Lui.

Le chevalier arriva devant l'escalier et se mit à monter. Son visage arborait un masque d'indifférence, mais en dedans de lui un combat s’engageait.

** C'est ton maître, le futur roi d'Enkidiev.** Disait une voix.

** C'est un tyran.** Répliquait une autre.

** Il vas prendre le pouvoir et emmener la prospérité.** Répliquait l'autre.

** Il vas emmener la guerre et la peine. Les chevaliers vont l'en empêcher.**

** Mon pauvre ami... Le plaint la voix. Les chevaliers d'Émeraude sont corrompu jusqu'à la moelle. La guerre leur est montés à la tête. Ils sont devenu une menace pour Enkidiev.**

** C'est faux! S'écria l'autre. Les chevaliers veulent la paix. Ils ne désirent que le bien du continent.**

** Ils voulaient la paix. Précisa-t-il. Mais la guerre les a rongés. Ils ne voient plus claire. Heureusement, Carnil les a vue venir. Ils vas les bloquer, mais pour cela il doit rallier les autres royaumes à sa cause et qu'elle meilleur manière que de s'assurer de l'unité des royaumes en en prenant le commandement? Son règne est synonyme de paix.**

** Vue ainsi. Acquiesça l'autre.**

** Mais non! S'écria-t-il aussitôt en revenant à lui. Je connais mes frères d'arme, j'ai grandit avec eux. Jamais ils ne causeraient de tord à Enkidiev.**

** Ils sont devenu fou.** Répliqua l'autre voix.

L'autre voix allait répondre lorsque Sidero les fit taire en arrivant devant la porte de la salle du trône. Il s'arrêta devant les gardes qui allèrent aussitôt annoncer son arrivé au roi. Le chevalier attendit qu'ont le fassent entrer une main sur la garde de son épée et le regard froid.